Details
FERRARI 330 GTC

Année: 1967
Numéro de série: 11007
Numéro du moteur: 11007
Documents d'immatriculation européens

Moteur: douze cylindres en V, simple arbre à cames en tête par banc de cylindres, 3967 cm3, 300 ch; Boîte-pont à 5 rapports; Transmission aux roues AR; Suspensions AV et AR: roues indépendantes, ressorts hélicoïdaux, amortisseurs télescopiques hydrauliques, barres stabilisatrices; Freins: à disque assistés sur les 4 roues; Volant à gauche.
Carrosserie Pininfarina, coupé, bleu "celeste", intérieur en cuir noir, moquette noire.

Histoire du modèle
Au milieu des années soixante, la gamme Ferrari comportait cinq modèles : la berlinette 275 GTB, le cabriolet dérivé 275 GTS, la familiale quatre place 330 GT 2+2, la très luxueuse 500 Superfast et, enfin, présenté au salon de Genève 1966, le coupé deux places 330 GTC. Ce dernier succédait au coupé 250 GT Lusso, arrêté en 1964, et assurait le rôle d'intermédiaire entre la berlinette sportive et la 2+2. Il était réalisé à partir du châssis court à empattement de 2,40m de la berlinette, muni de ses quatre roues indépendantes et de sa transmission 'transaxle', dans lequel l'usine avait monté le moteur 4 litres de la 2+2 dûment adapté. La carrosserie, dessinée et construite chez Pininfarina, disposait d'une grande harmonie de lignes et d'une finition particulièrement soignée. Donné pour 242 km/h par l'usine, le coupé 330 GTC recueillit les louanges de la presse. Dans le numéro de novembre 1966 de Motor, Paul Frère écrivait : 'C'est à peu près la voiture la plus neutre que vous puissiez trouver, et si vous la poussez aux limites de l'adhérence sur route sèche, c'est l'arrière qui glissera doucement, d'une manière merveilleusement contrôlable. Mais ce qui m'a le plus impressionné dans le comportement de la nouvelle voiture est la netteté dont elle fait preuve dans les changements de direction, particulièrement dans les S où elle peut être menée avec autant de précision qu'une voiture de course moderne'. Le Champion du Monde Phil Hill lui-même dit de la 330 GTC qu'elle était "la meilleure Ferrari routière jamais construite". La production de ce modèle se poursuivit sans changement majeur jusqu'à la fin de 1968. Il en avait alors été produit environ 600 exemplaires.

Histoire spécifique de 11007
L'exemplaire de la vente fut livré neuf en septembre 1967 par l'importateur belge, le Garage Francorchamps, à Jacques Vandevelde. Ce dernier était un client régulier et avait couru, entre autres au volant d'une berlinette 250 GT. Il revendit la voiture un an plus tard au propriétaire actuel qui l'immatricula, toujours en Belgique, le 13 novembre 1968. Le kilométrage total parcouru est de 69,700 km.

Etat
La carrosserie, repeinte dans sa couleur d'origine, est en excellent état de présentation, tout comme l'intérieur, encore dans son cuir de l'époque. La voiture est équipée de la climatisation. La baie moteur est impeccablement propre. La ligne d'échappement et les pneus sont neufs. Un dossier complet d'entretien, toujours effectué au Garage Francorchamps, est disponible. Les manuels ainsi que la trousse à outils sont livrés.



Year 1967
Chassis No. 11007
Engine No. 11007
European registration

Engine: V12, 3967 cc, 300 hp; Gearbox: five speed transaxle, rear wheel drive; Suspension: front and rear; independent, coil springs and hydraulic shock absorbers; Brakes: four wheel disc, servo assisted; Left hand drive.
Coachwork by Pininfarina, blue "celeste" with black leather interior and black carpets.

Model history
In the mid-sixties, the Ferrari range consisted of five models: the 275 GTB berlinetta, the derived 275 GTS spider, the 330 GT 2+2 saloon, the luxurious 500 Superfast and the 330 GTC two-seater coupe, introduced at the 1966 Geneva Motor Show. It succeeded the 250 GT Lusso, abandoned in 1964, and filled the niche between the sporting berlinetta and the 2+2. Based on the 2,40m short wheelbase chassis of the berlinetta with its independent four wheel supsension and transaxle gearbox, it sported the 4 litre engine duly adapted from the 2 + 2. The body, styled and and assembled at Pininfarina, benefited from typically elegant lines and nicely appointed fittings. Given by the works for 150 mph, it met with an enthusiastic press. In the November 1966 issue of Motor, Paul Frère reported: "The 330 GTC is close to being as neutral as one could want and if you push it to its limits on a dry road, the rear will gently slide, in a perfectly controllable way. But the most impressive feature of the handling of the new vehicle is the solidness with which it changes direction, particularly in S-bends, where it tracks with about the same precision as a modern race car". Ferrari World Champion Phil Hill himself called the 330 GTC "the best road going Ferrari ever built". The production of the 330 GTC lasted until the end of 1968 without major changes. By then about 600 had been built.

Specific history of this car
This example was delivered new in September 1967 by the Belgian importer, Garage Francorchamps, to Jacques Vandevelde. He was a regular client and had earlier raced a 250 GT berlinetta. He sold the car a year later to the present owner who registered it in Belgium on November 13, 1968. Total mileage is 69,700 km.

Condition
The body, re-sprayed in its original colour, presents extremely well, as does the interior, still with its period leather. The car is fitted with air conditioning. The engine bay is perfectly clean. The exhaust lines and the tyres are new. Maintenance was always done by Garage Francorchamps and a complete file is available. The manuals and toolkit are supplied.

More from AUTOMOBILES DE COLLECTION

View All
View All