Lot Essay
Cette oeuvre est enregistrée dans les archives Serge Poliakoff sous le No. 964074bis.
'Poliakoff est semblable au phoenix qui renaît de ses cendres: chaque fois qu'on le croit usé, fini, il s'affirme par une série de tableaux qui démontrent sa maîtrise incontestable. [...] Plus dramatiques, plus tendues, ses dernières oeuvres sont d'une grande richesse d'invention. Avec des moyens très simples, Poliakoff remplit la surface, la transforme en émotion.'
'Poliakoff is like a phoenix who rises from the ashes whenever one thinks he has exhausted his work. He reasserts himself in a series of pictures that demonstrate his undeniable mastery. More dramatic, more extended, his recent work demonstrates great wealth of invention. Using very simple elements, Poliakoff fills the surface of his paintings and endows it with feeling.'
(Otto Hahn, L'Express, 16 novembre 1964)
'Poliakoff est semblable au phoenix qui renaît de ses cendres: chaque fois qu'on le croit usé, fini, il s'affirme par une série de tableaux qui démontrent sa maîtrise incontestable. [...] Plus dramatiques, plus tendues, ses dernières oeuvres sont d'une grande richesse d'invention. Avec des moyens très simples, Poliakoff remplit la surface, la transforme en émotion.'
'Poliakoff is like a phoenix who rises from the ashes whenever one thinks he has exhausted his work. He reasserts himself in a series of pictures that demonstrate his undeniable mastery. More dramatic, more extended, his recent work demonstrates great wealth of invention. Using very simple elements, Poliakoff fills the surface of his paintings and endows it with feeling.'
(Otto Hahn, L'Express, 16 novembre 1964)