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Details
DIDIER CASSEGRAIN
Illustration originale intitulée
Le Passage, 2015.
Signée. Gouache sur papier
99,8 X 49,7 CM (39,29 X 19,57 IN.)
Didier Cassegrain (né en 1966) se forme aux Gobelins, une école d’animation qui lui permet d’entrer chez France Animation puis dans les Studios Disney de Montreuil. C’est dans la société Story qu’il rencontre Fred Blanchard et Olivier Vatine, qui comptent déjà quelques succès en librairie. Ces derniers le poussent à faire de la bande dessinée, donnant naissance à Tao Bang (1999), Code McCallum (2006), puis Piege sur Zarkass (2013), une adaptation du chef-d’oeuvre de Stefan Wul. Il travaille actuellement à l’adaptation d’une histoire de Conan le Barbare, Le Clou rouge, à paraître chez Glénat. Cette maison des plaisirs, théâtralisée, concentre l’essence de l’art de Didier Cassegrain : un dessin clair, un foisonnement de textures où s’alignent les tentures, les voiles et le cuir dont les couleurs vives et chaudes s’éveillent au contact de la pierre blanche. Ces créatures aux formes sculpturales, héritées de Frazetta, viennent parfaire la rigidité d’une architecture maîtrisée. Au milieu des étoffes chamarrées se détache, altière, cette maîtresse des fauves, écartant la foule sur son passage.
Illustration originale intitulée
Le Passage, 2015.
Signée. Gouache sur papier
99,8 X 49,7 CM (39,29 X 19,57 IN.)
Didier Cassegrain (né en 1966) se forme aux Gobelins, une école d’animation qui lui permet d’entrer chez France Animation puis dans les Studios Disney de Montreuil. C’est dans la société Story qu’il rencontre Fred Blanchard et Olivier Vatine, qui comptent déjà quelques succès en librairie. Ces derniers le poussent à faire de la bande dessinée, donnant naissance à Tao Bang (1999), Code McCallum (2006), puis Piege sur Zarkass (2013), une adaptation du chef-d’oeuvre de Stefan Wul. Il travaille actuellement à l’adaptation d’une histoire de Conan le Barbare, Le Clou rouge, à paraître chez Glénat. Cette maison des plaisirs, théâtralisée, concentre l’essence de l’art de Didier Cassegrain : un dessin clair, un foisonnement de textures où s’alignent les tentures, les voiles et le cuir dont les couleurs vives et chaudes s’éveillent au contact de la pierre blanche. Ces créatures aux formes sculpturales, héritées de Frazetta, viennent parfaire la rigidité d’une architecture maîtrisée. Au milieu des étoffes chamarrées se détache, altière, cette maîtresse des fauves, écartant la foule sur son passage.
Brought to you by
Victorine d'Arcangues