Lot Essay
‘The concept of ngady amwaash dates back to the time of Queen Ngokady. The queen wanted to showcase the female condition, even through dance. However, she herself did not dance. She went about finding a man who would dress like a woman and imitate female dance steps’ (Cornet, J., Art royal Kuba, Milan, 1982, p. 270).
This imposing royal mask is distinctive for its very old age, its width, the elegance of its features, and the remarkable quality of its polychromy.
For comparison, we may cite the mask of the collection held at the Art Institute of Chicago, inv. no. 1982.1505; that of the collection of the Museum Rietberg, inv. no. RAC 404; and that of the former Briart collection, acquired in 1893 and sold at Christie’s, Paris, 3 December 2020, lot 57.
« Le ngady amwaash remonterait au temps de la reine Ngokady. La reine voulut mettre en valeur la condition des femmes, même par la danse. Mais elle-même ne dansait pas. Elle s’en fut trouver un homme pour lui demander de danser avec l’apparence d’une femme et en imitant les pas de danse des femmes » (Cornet, J., Art royal Kuba, Milan, 1982, p. 270).
Cet imposant masque royal se distingue par sa grande ancienneté, sa largeur, l’élégance de ses traits et la qualité remarquable de sa polychromie.
Nous pouvons citer en comparaison le masque de la collection de l’Art Institute of Chicago, inv. n° 1982.1505, celui de la collection du Museum Rietberg, inv. n° RAC 404, ou encore celui de l’ancienne collection Briart, acquis en 1893 et vendu chez Christie’s, Paris, 3 décembre 2020, lot 57.
This imposing royal mask is distinctive for its very old age, its width, the elegance of its features, and the remarkable quality of its polychromy.
For comparison, we may cite the mask of the collection held at the Art Institute of Chicago, inv. no. 1982.1505; that of the collection of the Museum Rietberg, inv. no. RAC 404; and that of the former Briart collection, acquired in 1893 and sold at Christie’s, Paris, 3 December 2020, lot 57.
« Le ngady amwaash remonterait au temps de la reine Ngokady. La reine voulut mettre en valeur la condition des femmes, même par la danse. Mais elle-même ne dansait pas. Elle s’en fut trouver un homme pour lui demander de danser avec l’apparence d’une femme et en imitant les pas de danse des femmes » (Cornet, J., Art royal Kuba, Milan, 1982, p. 270).
Cet imposant masque royal se distingue par sa grande ancienneté, sa largeur, l’élégance de ses traits et la qualité remarquable de sa polychromie.
Nous pouvons citer en comparaison le masque de la collection de l’Art Institute of Chicago, inv. n° 1982.1505, celui de la collection du Museum Rietberg, inv. n° RAC 404, ou encore celui de l’ancienne collection Briart, acquis en 1893 et vendu chez Christie’s, Paris, 3 décembre 2020, lot 57.