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…Il n’y a pas d’exagération à affirmer que de tous les arts il n’y en a pas peut-être qui présente plus de danger, pour la santé, que l’art culinaire. Ces dangers sont d’autant plus graves qu’ils sont presque inaperçus et qu’ils se reproduisent chaque jour et dans toutes les classes de la société… (Rapport du conseil de salubrité)
ARCET, Jean-Pierre-Joseph d’ (1777-1844).
Description d’un fourneau de cuisine construit de manière à pouvoir y préparer tout espèce d’aliment sans être incommodé par la vapeur du charbon, par la fumée du bois ou par l’odeur désagréable qui se répand ordinairement dans les cuisines lorsqu’on y fait griller de la viande ou du poisson… Paris : Bachelier, 1821.
Details
ARCET, Jean-Pierre-Joseph d’ (1777-1844).
Description d’un fourneau de cuisine construit de manière à pouvoir y préparer tout espèce d’aliment sans être incommodé par la vapeur du charbon, par la fumée du bois ou par l’odeur désagréable qui se répand ordinairement dans les cuisines lorsqu’on y fait griller de la viande ou du poisson… Paris : Bachelier, 1821.
Tiré à part des Annales de l’industrie nationale et étrangère. Chimiste et inventeur de nombreux procédés industriels, Jean-Pierre-Joseph d’Arcet fut nommé en 1810 au Conseil d’hygiène publique et de salubrité de Paris. En 1818, lors de recherches pour l’assainissement des ateliers de doreurs, il constate que « l’insalubrité de nos cuisines était la cause d’accidens beaucoup plus fréquents et peut-être plus graves que ne sont ceux que les doreurs éprouvent dans les ateliers mal construits… ». Dès lors, il s’emploie à y remédier, et produit en 1821 au Conseil de salubrité un mémoire sur cette question. Jugé d’un grand intérêt, ce mémoire est rapidement publié dans les Annales de l’industrie… avant de faire l’objet de ce tiré à part. Vicaire, 249 (à la date erronée de 1822).
Fascicule in-8 (206 x 130 mm). Illustré de 2 planches dépliantes gravées par Adam d’après Moléon. Reliure signée J. Faki : demi-basane havane à coins, dos lisse, tête dorée, couverture muette rose conservée.
Provenance : cachet du Séminaire des Missions étrangères sur le titre.
Offprint from the Annales de l’industrie nationale et étrangère.
Description d’un fourneau de cuisine construit de manière à pouvoir y préparer tout espèce d’aliment sans être incommodé par la vapeur du charbon, par la fumée du bois ou par l’odeur désagréable qui se répand ordinairement dans les cuisines lorsqu’on y fait griller de la viande ou du poisson… Paris : Bachelier, 1821.
Tiré à part des Annales de l’industrie nationale et étrangère. Chimiste et inventeur de nombreux procédés industriels, Jean-Pierre-Joseph d’Arcet fut nommé en 1810 au Conseil d’hygiène publique et de salubrité de Paris. En 1818, lors de recherches pour l’assainissement des ateliers de doreurs, il constate que « l’insalubrité de nos cuisines était la cause d’accidens beaucoup plus fréquents et peut-être plus graves que ne sont ceux que les doreurs éprouvent dans les ateliers mal construits… ». Dès lors, il s’emploie à y remédier, et produit en 1821 au Conseil de salubrité un mémoire sur cette question. Jugé d’un grand intérêt, ce mémoire est rapidement publié dans les Annales de l’industrie… avant de faire l’objet de ce tiré à part. Vicaire, 249 (à la date erronée de 1822).
Fascicule in-8 (206 x 130 mm). Illustré de 2 planches dépliantes gravées par Adam d’après Moléon. Reliure signée J. Faki : demi-basane havane à coins, dos lisse, tête dorée, couverture muette rose conservée.
Provenance : cachet du Séminaire des Missions étrangères sur le titre.
Offprint from the Annales de l’industrie nationale et étrangère.
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Adrien Legendre
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