JEAN-FRANÇOIS MILLET (GRUCHY 1814-1875 BARBIZON)
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JEAN-FRANÇOIS MILLET (GRUCHY 1814-1875 BARBIZON)

Mère et enfant avec une vache

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JEAN-FRANÇOIS MILLET (GRUCHY 1814-1875 BARBIZON)
Mère et enfant avec une vache
graphite, plume et encre brune
18,4 x 26,8 cm (7 1/4 x 10 1/2 in.) ; on joint un billet autographe du neveu de l'artiste: ‘Cher ami,/ Voici le croquis promis. Il est de la main/ de mon oncle & parrain J-F. Millet/ Bien d'amitié./ [...] Millet./ 9 juin 1940.’
Provenance
Tampon d’atelier de l'artiste (L. 3728).
Vente Hôtel Drouot, Paris, 19 décembre 2001, lot 135.
Further details
JEAN-FRANÇOIS MILLET, MOTHER AND CHILD WITH A COW, GRAPHITE, PEN AND BROWN INK

The present drawing can be dated to the 1850s, the period of Millet’s ‘rustic style’, according to Chantal Georgel (Millet, Paris, 2014, pp. 257-261). It is part of a series of works representing a woman grazing her cow, the most characteristic of which was exhibited at the Salon of 1859 (Musée de l’Ain, Bourg-en-Bresse; see Georgel, op. cit., p. 245). In 1855, the critic and poet Théophile Gaultier wrote that Millet ‘understands the intimate poetry of the fields: he loves the peasants he represents, and in their resigned figures expresses his sympathy for them’ (G. Lacambre and L. Lepoittevin, Jean-François Millet. Au-delà de l’Angélus, Paris, 2002, p. 257).

Brought to you by

Hélène Rihal
Hélène Rihal Head of Department

Lot Essay

Le présent dessin peut être daté des années 1850, période au ‘style rustique’ de Millet selon Chantal Georgel (Millet, Paris, 2014, pp. 257-261). Il s’inscrit dans la série des œuvres représentant une femme faisant paître sa vache, dont un tableau exposé au Salon de 1859 (Bourg-en-Bresse, musée de l'Ain, inv. 859.1 ; Georgel, ibid., p. 245). En 1855, Théophile Gaultier écrit que Millet ‘comprend la poésie intime des champs : il aime les paysans qu'il représente, et dans leurs figures résignées exprime sa sympathie pour eux’ (Le Moniteur universel, 18 octobre 1855 ; G. Lacambre et L. Lepoittevin, Jean-François Millet : au-delà de l’Angélus, Paris, 2002, p. 257).

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